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Table ronde du dimanche 11 juillet 2021
Pays basque : encore et en roc, il est le dernier des carriers de la pierre de Bidache.© Crédit photo : Bertrand Lapègue/ « SO »Pays basque : encore et en roc, il est le dernier des carriers pour la pierre de Bidache Lecture 4 min Accueil Pyrénées-Atlantiques Bayonne - Par Bastien Marie - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - Publié le 31/05/2024 à 7h15.De l’extraction des roches dans sa carrière aux finitions en ateliers, David Petrissans cultive le savoir-faire ancestral de la pierre de Bidache.Elle a façonné une partie du Pays basque et du Béarn avec son teint grisâtre et sa robustesse. Pourtant à Bidache, David Petrissans est le dernier à exploiter une carrière. Un héritage familial, à l’épreuve d’une forte demandeL’histoire se raconte au fil de l’eau et au son des outils. Le long de la Bidouze, et jusqu’à son confluent avec l’Adour, quelques kilomètres plus au Nord. « Ça s’est construit comme ça, autour de la rivière. Les maisons, les carrières. Sans la Bidouze, on ne pouvait pas sortir la pierre. » David Petrissans a encore quelques éclats de calcaires sur les mains.De la poussière sur les contours des yeux, la poignée de main ferme - de ceux pour qui elles restent la force de travail - et un petit rictus, léger. Le tailleur de pierre a la passion humble. La fierté discrète. Lui aussi est installé le long de la rivière et de ses anciens ports d’eau douce. Les galupes, qui autrefois transportaient les blocs rocheux dans la région sont parties. Mais lui taille toujours. Inlassablement. Et jusqu’aux derniers « bancs » de calcaire, de cette roche de Bidache, que ses ancêtres travaillaient déjà avant lui dans la carrière familiale, 400 mètres plus haut. « On l’a toujours utilisée, c’est la pierre qui a bâti le Pays basque, le Béarn et une partie des Landes. Mais la dernière, la seule carrière encore à Bidache, c’est la mienne oui. »Les carnets de commandes sont pleins assure le chef d’entreprise.Vidéo : Chantier de la cathédrale de Bayonne : l’ouvrage vertigineux des tailleurs de pierreDepuis la mi-avril, les tailleurs de pierre de l’entreprise Arrebat travaillent sur la restauration des parements extérieurs de la cathédrale de Bayonne. Les travaux se situent sur la façade ouest. On a pris de la hauteur pour suivre le travail de ces artisans, entre terre et cielHÉRITAGE EN DANGER ?
Au Pays Charnegou, l’époque des carriers rois est révolue. La robustesse de la pierre de Bidache l’avait inscrite parmi les incontournables du territoire.Pour les maisons, les églises….certains ponts aussi. « Au siècle dernier, on n’était pas trop regardant sur l’origine des pierres. On a commencé à faire venir des roches d’ailleurs. De Bourgogne, du Gard, de la pierre d’Arudy. »Difficiles à travailler - « et à valoriser », confie le tailleur de pierre - certains lui ont préféré des voisines pour les constructions de la région. Les carrières ont commencé à fermer, jusqu’à celle du père de David Petrissans. « C’était plus tard, en 97. Il faut dire que c’est un métier fatigant ».La boucharde fait partie des outils emblématiques des tailleurs de pierre.Lui a toujours grandi entre les grandes lames circulaires des machines et les massifs blocs de pierres. « Il y a des bruits que je n’oublie pas. Quand on sonne la pierre pour savoir si elle est creuse… Quand j’étais enfant, je prenais un ciseau et je m’entraînais déjà. » Un CAP en poche, une formation accélérée en gravure, David Petrissans a d’abord travaillé dans le Tarn. Vite rattrapé par ses racines, il revient finalement s’installer à Bidache pour poursuivre ce « rêve », et répondre à une vraie demande. « Je sais aussi que c’est difficile. J’ai les pieds sur terre. Enfin, sur pierre », sourit le gaillard.Vidéo Bidache : Pascal Carrecabe, le nouveau chevalier de la Tigne est Compagnon du devoirLES CARNETS PLEINS
Depuis le début des années 2000, il raconte le « retour de la pierre de Bidache. » Un nouvel engouement pour la pierre grisâtre, avec l’arrivée de nouveaux habitants. « On a eu des gens qui sont venus s’installer ici, qui n’étaient pas forcément originaires de la région et qui se sont intéressés à ce savoir-faire. Nous, on connaît ce patrimoine local ici, mais on connaît aussi les difficultés de cette pierre. » En 2017, et après plusieurs années de carcans administratifs pour relancer l’activité de la carrière familiale, David Petrissans parvient enfin à faire retourner les machines. « Au début je disais que j’étais marbrier-tailleur. J’osais pas dire que j’étais carrier. C’était la même chose pourtant, mais, je sais pas. Aujourd’hui je dis carrier, par souvenir pour mon père peut-être. »Le coup de main nécessite force et dextérité. »Dans son atelier empoussiéré, l’homme alterne entre les commandes. Toujours le même bruit sourd des burins et de la boucharde sur le roc. Des tasseaux et autres éléments de structures, des objets d’arts (chapiteaux, cheminées, fontaines, blasons… …« Il y a une vraie demande locale. C’est compliqué de respecter les délais tellement j’ai de commandes », poursuit le quadragénaire, qui explique rechercher un à deux employés pour sa petite entreprise.Chapiteaux, blasons, la partie artistique fait partie duÉLEVEUR DE PIERRES
Pour préserver la tradition et continuer d’honorer sa casquette de dernier des carriers, l’homme alterne entre deux mondes presque opposés. La délicatesse des finitions, le savoir-faire helvétique de la gravure, puis les moments d’exploitation de la carrière, plus bourrin, à grands coups de « tracto ».« La carrière j’y vais seulement deux mois dans l’année, en juin et juillet pour faire mon stock. » Et pour la prochaine session, la pierre devrait être de bonne qualité. « Là j’ai un banc d’un mètre que j’ai repéré depuis 6 ans et que j’attends de pouvoir récupérer. C’est une strate très saine. »« On l’a toujours utilisée, c’est la pierre qui a bâti le Pays basque, le Béarn et une partie des Landes »
David Petrissans confie pourtant que la ressource minérale reste importante sur la commune et ses alentours. La pierre est restée, les besoins ont changé, mais lui se dit bien décidé à extraire la roche pour la sublimer, encore et en roc.Avec la dernière et unique carrière de David Petrissans, la précieuse matière n’est plus destinée aux bâtiments historiques. D’autres tailleurs de pierre sont bien installés dans le village et les bourgades voisines, mais l’extraction se fait ailleurs.À Bayonne, les actuels travaux de la cathédrale (elle aussi en grande partie construite avec) font également ressortir la question des stocks de pierres du Pays charnegou. Elle reste donc aujourd’hui essentiellement à destination des privés, pour des ouvrages de tailles intermédiaires et rarement neufs. Elle reste donc aujourd’hui essentiellement à destination des privés, pour des ouvrages de tailles intermédiaires et rarement neufs."LA DIFFICILE RÉNOVATION DU PATRIMOINE
Au centre de Bidache, le crépi blanchâtre des maisons la dissimule, encore « Derrière, juste là, ça en est bien. C’est la pierre qui bâtit. »Le béret sur la tête - ne lui demandez d’ailleurs pas si ce dernier est plutôt basque ou béarnais - Jean-Paul Sudaka est un fier chevalier de l’ordre de la Tigne. La confrérie défend l’héritage des anciens tailleurs de pierre de Bidache (en référence aux couches veinées de silex dans les blocs).Et pour ce Bidachot, la fermeture des carrières fait apparaître de nombreux enjeux, bien au-delà de l’aspect culturel du passé bâtisseur de la cité.Avec la dernière et unique carrière de David Petrissans, la précieuse matière n’est plus destinée aux bâtiments historiques. D’autres tailleurs de pierre sont bien installés dans le village et les bourgades voisines, mais l’extraction se fait ailleurs.
« Aujourd’hui, si on voulait rénover le château de Bidache, on devrait le faire dans son jus. Avec la matière d’époque. Le prix, la quantité de pierre….cela paraît quasi-impossible sans un Projet ambitieux qui fédérait l'ensemble des acteurs culturels, politique et financier de notre région Nouvelle-Aquitaine», tranche Jean-Paul Sudaka.À Bayonne, les actuels travaux de la cathédrale (elle aussi en grande partie construite avec) font également ressortir la question des stocks de pierres du Pays Charnegou, qui restent donc aujourd’hui essentiellement à destination des privés, pour des ouvrages de tailles intermédiaires et rarement neufs.- Nombre d'articles :
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Le dernier des carriers de la pierre de Bidache
Pays basque : encore et en roc, il est le dernier des carriers de la pierre de Bidache.© Crédit photo : Bertrand Lapègue/ « SO »Pays basque : encore et en roc, il est le dernier des carriers pour la pierre de Bidache Lecture 4 min Accueil Pyrénées-Atlantiques Bayonne - Par Bastien Marie - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - Publié le 31/05/2024 à 7h15.De l’extraction des roches dans sa carrière aux finitions en ateliers, David Petrissans cultive le savoir-faire ancestral de la pierre de Bidache.Elle a façonné une partie du Pays basque et du Béarn avec son teint grisâtre et sa robustesse. Pourtant à Bidache, David Petrissans est le dernier à exploiter une carrière. Un héritage familial, à l’épreuve d’une forte demandeL’histoire se raconte au fil de l’eau et au son des outils. Le long de la Bidouze, et jusqu’à son confluent avec l’Adour, quelques kilomètres plus au Nord. « Ça s’est construit comme ça, autour de la rivière. Les maisons, les carrières. Sans la Bidouze, on ne pouvait pas sortir la pierre. » David Petrissans a encore quelques éclats de calcaires sur les mains.De la poussière sur les contours des yeux, la poignée de main ferme - de ceux pour qui elles restent la force de travail - et un petit rictus, léger. Le tailleur de pierre a la passion humble. La fierté discrète. Lui aussi est installé le long de la rivière et de ses anciens ports d’eau douce. Les galupes, qui autrefois transportaient les blocs rocheux dans la région sont parties. Mais lui taille toujours. Inlassablement. Et jusqu’aux derniers « bancs » de calcaire, de cette roche de Bidache, que ses ancêtres travaillaient déjà avant lui dans la carrière familiale, 400 mètres plus haut. « On l’a toujours utilisée, c’est la pierre qui a bâti le Pays basque, le Béarn et une partie des Landes. Mais la dernière, la seule carrière encore à Bidache, c’est la mienne oui. »Les carnets de commandes sont pleins assure le chef d’entreprise.Vidéo : Chantier de la cathédrale de Bayonne : l’ouvrage vertigineux des tailleurs de pierreDepuis la mi-avril, les tailleurs de pierre de l’entreprise Arrebat travaillent sur la restauration des parements extérieurs de la cathédrale de Bayonne. Les travaux se situent sur la façade ouest. On a pris de la hauteur pour suivre le travail de ces artisans, entre terre et cielHÉRITAGE EN DANGER ?
Au Pays Charnegou, l’époque des carriers rois est révolue. La robustesse de la pierre de Bidache l’avait inscrite parmi les incontournables du territoire.Pour les maisons, les églises….certains ponts aussi. « Au siècle dernier, on n’était pas trop regardant sur l’origine des pierres. On a commencé à faire venir des roches d’ailleurs. De Bourgogne, du Gard, de la pierre d’Arudy. »Difficiles à travailler - « et à valoriser », confie le tailleur de pierre - certains lui ont préféré des voisines pour les constructions de la région. Les carrières ont commencé à fermer, jusqu’à celle du père de David Petrissans. « C’était plus tard, en 97. Il faut dire que c’est un métier fatigant ».La boucharde fait partie des outils emblématiques des tailleurs de pierre.Lui a toujours grandi entre les grandes lames circulaires des machines et les massifs blocs de pierres. « Il y a des bruits que je n’oublie pas. Quand on sonne la pierre pour savoir si elle est creuse… Quand j’étais enfant, je prenais un ciseau et je m’entraînais déjà. » Un CAP en poche, une formation accélérée en gravure, David Petrissans a d’abord travaillé dans le Tarn. Vite rattrapé par ses racines, il revient finalement s’installer à Bidache pour poursuivre ce « rêve », et répondre à une vraie demande. « Je sais aussi que c’est difficile. J’ai les pieds sur terre. Enfin, sur pierre », sourit le gaillard.Vidéo Bidache : Pascal Carrecabe, le nouveau chevalier de la Tigne est Compagnon du devoirLES CARNETS PLEINS
Depuis le début des années 2000, il raconte le « retour de la pierre de Bidache. » Un nouvel engouement pour la pierre grisâtre, avec l’arrivée de nouveaux habitants. « On a eu des gens qui sont venus s’installer ici, qui n’étaient pas forcément originaires de la région et qui se sont intéressés à ce savoir-faire. Nous, on connaît ce patrimoine local ici, mais on connaît aussi les difficultés de cette pierre. » En 2017, et après plusieurs années de carcans administratifs pour relancer l’activité de la carrière familiale, David Petrissans parvient enfin à faire retourner les machines. « Au début je disais que j’étais marbrier-tailleur. J’osais pas dire que j’étais carrier. C’était la même chose pourtant, mais, je sais pas. Aujourd’hui je dis carrier, par souvenir pour mon père peut-être. »Le coup de main nécessite force et dextérité. »Dans son atelier empoussiéré, l’homme alterne entre les commandes. Toujours le même bruit sourd des burins et de la boucharde sur le roc. Des tasseaux et autres éléments de structures, des objets d’arts (chapiteaux, cheminées, fontaines, blasons… …« Il y a une vraie demande locale. C’est compliqué de respecter les délais tellement j’ai de commandes », poursuit le quadragénaire, qui explique rechercher un à deux employés pour sa petite entreprise.Chapiteaux, blasons, la partie artistique fait partie duÉLEVEUR DE PIERRES
Pour préserver la tradition et continuer d’honorer sa casquette de dernier des carriers, l’homme alterne entre deux mondes presque opposés. La délicatesse des finitions, le savoir-faire helvétique de la gravure, puis les moments d’exploitation de la carrière, plus bourrin, à grands coups de « tracto ».« La carrière j’y vais seulement deux mois dans l’année, en juin et juillet pour faire mon stock. » Et pour la prochaine session, la pierre devrait être de bonne qualité. « Là j’ai un banc d’un mètre que j’ai repéré depuis 6 ans et que j’attends de pouvoir récupérer. C’est une strate très saine. »« On l’a toujours utilisée, c’est la pierre qui a bâti le Pays basque, le Béarn et une partie des Landes »
David Petrissans confie pourtant que la ressource minérale reste importante sur la commune et ses alentours. La pierre est restée, les besoins ont changé, mais lui se dit bien décidé à extraire la roche pour la sublimer, encore et en roc.Avec la dernière et unique carrière de David Petrissans, la précieuse matière n’est plus destinée aux bâtiments historiques. D’autres tailleurs de pierre sont bien installés dans le village et les bourgades voisines, mais l’extraction se fait ailleurs.À Bayonne, les actuels travaux de la cathédrale (elle aussi en grande partie construite avec) font également ressortir la question des stocks de pierres du Pays charnegou. Elle reste donc aujourd’hui essentiellement à destination des privés, pour des ouvrages de tailles intermédiaires et rarement neufs. Elle reste donc aujourd’hui essentiellement à destination des privés, pour des ouvrages de tailles intermédiaires et rarement neufs."LA DIFFICILE RÉNOVATION DU PATRIMOINE
Au centre de Bidache, le crépi blanchâtre des maisons la dissimule, encore « Derrière, juste là, ça en est bien. C’est la pierre qui bâtit. »Le béret sur la tête - ne lui demandez d’ailleurs pas si ce dernier est plutôt basque ou béarnais - Jean-Paul Sudaka est un fier chevalier de l’ordre de la Tigne. La confrérie défend l’héritage des anciens tailleurs de pierre de Bidache (en référence aux couches veinées de silex dans les blocs).Et pour ce Bidachot, la fermeture des carrières fait apparaître de nombreux enjeux, bien au-delà de l’aspect culturel du passé bâtisseur de la cité.Avec la dernière et unique carrière de David Petrissans, la précieuse matière n’est plus destinée aux bâtiments historiques. D’autres tailleurs de pierre sont bien installés dans le village et les bourgades voisines, mais l’extraction se fait ailleurs.
« Aujourd’hui, si on voulait rénover le château de Bidache, on devrait le faire dans son jus. Avec la matière d’époque. Le prix, la quantité de pierre….cela paraît quasi-impossible sans un Projet ambitieux qui fédérait l'ensemble des acteurs culturels, politique et financier de notre région Nouvelle-Aquitaine», tranche Jean-Paul Sudaka.À Bayonne, les actuels travaux de la cathédrale (elle aussi en grande partie construite avec) font également ressortir la question des stocks de pierres du Pays Charnegou, qui restent donc aujourd’hui essentiellement à destination des privés, pour des ouvrages de tailles intermédiaires et rarement neufs.- Nombre d'articles :
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Ressources historiques
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Bibliographie
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Histoire
Présentation de la recherche de témoignages entreprise par l'Association Bidache Culture, Gilbert Lataillade, Raymond Lataillade et Eric Bur présentent leur action entreprise pour la mémoire de Bidache. Actuellement plus de dix heures de témoignages (et de nombreuses autres à venir) ont été enregistrées par des Bidachots qui ont vécu à Bidache dans les années 1950 / 60, celles de leur jeunesse : souvenirs d'un tailleur de pierre, d'un médecin, de métayers, ou de pêcheurs sur la Bidouze, souvenirs d'une France qui n'existe plus et qu'il faut léguer aux générations à venir, telle est le sens de cette recherche, veuillez ouvrir le lien ci-joint : vidéo de 7'
Photos des principaux évènements auquels les membres de l'association Bidache Culture ont participé, veuillez ouvrir le lien ci- joint : bidache culture - Bing images
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Les Journées Européennes du Patrimoine à Bidache
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Présentation de l'Association Bidache Culture - Editions Bidache Culture
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Nom de l’association : Bidache Culture
Sigle : ABC
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Permanence : 9bis rue de la fontaine
Code postal : 64520 Commune : Bidache
Téléphone : 06 07 11 91 15
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Site Internet : https://www.bidacheculture.com
Notre site marchand : https://association-bidache-culture.sumupstore.comFacebook « Arrêt sur Image » au Pays de Bidache : Arrêt sur Image au Pays de Bidache | Facebook
Numéro SIRET : 513 100 800 000 12
Identification du responsable et de la personne chargée du dossier
Le représentant légal (le président, ou autre personne désignée par les statuts)
Nom : Sudaka Prénom : Jean-Paul
Qualité : Président
Téléphone : 06 07 11 91 15 Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
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Promouvoir l’Art et la Culture sur le Pays de Bidache. Nous sommes une association, reconnue d’intérêt général, qui se consacre à la promotion de l’art et de la culture en Pays de Bidache par des spectacles, expositions, salons du livre ou publications.
Nous accueillons les bénévoles intéressés par notre démarche et décidés à rejoindre la quarantaine de membres investis dans la mise en place de ces activités.
“En conclusion, nous sommes riches de nos différences que nous souhaitons partager.”
Composition du bureau et du conseil d’administration :
Bureau : Président : Jean-Paul Sudaka – Trésorier : Frédéric Serventi
Secrétaire : Stéphanie Poulain – Secrétaire adjoint :
Conseil d’administration : Stéphanie Poulain – Anne Halm
Marie-France Bur – Béatrice Dick – Michel Dallemane – Jean-Paul Sudaka
Michel Broquedis – Henri Vandenbulcke – Jean-Claude Rousset
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